Während des Zweiten Weltkriegs gerieten 1,8 Millionen französische Soldaten in deutsche Kriegsgefangenschaft. Ihr Schicksal wurde bisher kaum von der Geschichtswissenschaft betrachtet. Vielfach diente ihnen Fußball als Ausweg aus der sogenannten Stacheldrahtpsychose, eine Ablenkung von der teils schweren Zwangsarbeit für die deutsche Kriegswirtschaft, so auch im Stammlager III A in Luckenwalde, in Brandenburg. Das vorliegende Buch entstand aus einem Schülerprojekt von Abiturienten in Zusammenarbeit mit Wissenschaftlern und auf der Grundlage von Zeitzeugenberichten.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, 1.8 million de prisonniers de guerre français sont entrés en captivité allemande. L'historiographie à peu travaillé sur la question. Le football a servi d'exutoire et permis de résister à la psychose des barbelés, une échappatoire au travail dans l'industrie du Reich, mais aussi dans le camp principal III A de Luckenwalde dans le Brandebourg. Ce livre est le fruit d'un projet scolaire de lycéens en collaboration avec des scientifiques et sur la base de témoignages.