L’échantillonnage qui a pour résultat l’apparition de populations humaines récentes se nomme « Effet Birr ». Par un enchaînement d’effets similaires, une même population d’origine est à même de constituer des descendances différentes entre elles. L’histoire du peuplement et des migrations de l’Homme crée la structure contemporaine de la diversité génétique de l’Humanité. A propos de l’Histoire Humaine, la Préhistoire, l’Archéologie et la Paléontologie procurent plus de récits fantastiques et d’ambiguïtés que de certitudes. Quant à la génétique, elle propose une sophistication de documents sur des caractères chimiques complexes, mais rien à propos de la variabilité directement observable de l’Homme.
En Préhistoire et en Histoire pour ne citer que ces deux disciplines, non seulement on éprouve la difficulté d’un examen critique sur la qualité et la sincérité des témoignages mais encore, on se trouve singulièrement embarrassé dans ce travail par des questions d’individus.
Quoi qu’il en soit, les migrations ne sont envisageables qu’après acquisition des moyens, donc du développement des techniques et poussées par des facteurs économiques, démographiques, alimentaires, environnementaux [catastrophes naturelles], climatiques, belliqueux [guerres] et aussi religieux. Les migrations primordiales sont effectuées à l’ère Tho-Hor vers les régions avoisinantes suivant un mouvement ondulatoire.
Toute migration humaine est un acte intentionnel et réfléchi. En d’autres termes, on ne perpétue pas l’espèce humaine et on ne colonise pas la surface de la Terre si on ne dispose pas d’un apport démographique suffisant, d’une capacité technique et des moyens logistiques fournis par une base arrière afin d’entreprendre des voyages aussi périlleux que sont les migrations.