Serge Harbreuze, qui a acquis une immense fortune dans l'industrie, annonce, un jour, à ses proches qu'il a décidé de se marier avec la comtesse Odile de Walberg, une Autrichienne. Le jeune couple s'installe dans la vieille demeure des Harbreuze. Il ne sera pas heureux longtemps. Serge, fier de sa réussite, mais très orgueilleux, sup¬porte difficilement les sautes d'humeur de sa femme qui ne cesse de lui rappeler cons¬tamment la noblesse de ses origines. «Je serai toujours une Walberg, lui lance-t-elle, un jour, au cours d'une scène plus violente que les autres. Je n'appartiendrai jamais à votre bourgeoisie que j'exècre. Je, n'aurais jamais accepté cette mésalliance si mon père ne m'y avait contrainte». Le lendemain matin, Odile quitte le toit conjugal. Est-ce la séparation définitive?