La première vérité qu'impose le tableau est la nôtre. Ainsi, le spectateur contemple davantage les reflets de ses propres représentations que les formes-couleurs du tableau.
En persévérant dans l'auto-contemplation, le spectateur fait germer le risque de mêler l'ennui et le mensonge, là où la nouveauté et la volupté s'embrassent.
L'erreur dans laquelle il persiste donne lieu à une seconde réalité du même phénomène, celle de la tragédie de l'auto-contemplation.