Pays du nopal et du maguey, terre de Montézuma et de Malinché ! ton souvenir me domine ! Les années peuvent finir, ma main se dessécher, mon cœur vieillir, mais moi vivant je ne t’oublierai jamais. Pour rien au monde je ne voudrais t’effacer de ma mémoire. Que ton nom soit béni entre tous !
Brillant pays d’Anahuac ! mon esprit monte sur les ailes de l’imagination, et je me retrouve encore sur tes rivages ! Dans tes vastes savanes, j’anime mon noble coursier, dont le joyeux hennissement dit que lui aussi est inspiré.