Ce livre a le sens d'une vie, d'une réflexion, hier en marchant, en observant, en écoutant, en méditant. Aujourd'hui en écrivant des mots pour changer le monde.
La Cité n'a pas de propriétaires mais l'intérêt collectif des Citadins qui dépasse les intérêts particuliers. Les mots, alliage complexe de paysan et d'ingénieur, sont écrits crûment avec audace sans ambages sans précaution. Limpides ou cruels, ils irritent car l'essai ose. Il brise la grammaire du décryptage de la Cité trop souvent chiffonnée, il la réécrit.
L'essai va aussi loin que possible, il est un regard curieux sur la Cité et sa gouvernance. Il va encore plus loin, il enseigne une rupture sans ambigüité et provoque une utopie, un rêve, celui où les citadins se donnent la main. Des règles sont décrites, elles entraînent sans discrimination, sans différence de sexe ni de couleur, sans apartheid ni clivage, sans distinction de religion, dans un enrichissement mutuel, la faculté intelligente d'écouter l'autre différent de moi.
Il crée un nouveau vécu, commun, irrésistible, partagé sans dissidence, pour innover la Cité que nous désirons, où le politique, les femmes et la démocratie renaissent.