S’il vous plait, aidez-moi !, ces mots sont restés dans ma tête sans pouvoir les sortir de ma bouche pendant tellement d’années que le jour, ou une main s’est tendue, je l’ai refusé.
Mes pleurs ne se sont pas entendu, mes larmes ne se sont pas vu et mes bourreaux se sont servis de ma détresse pour me prendre les choses les plus précieuses qu’un enfant puisse avoir : son innocence, son corps et son cœur.