Dans son roman La haute canaille, Jules Lermina explore la vie des classes dangereuses à Paris au XIXe siècle dans un style réaliste et cru. L'Suvre dépeint de manière vivide les bas-fonds de la société, mettant en lumière la violence, la pauvreté et la marginalisation. Lermina utilise un langage direct et des descriptions brutes pour capturer la réalité des personnages et de leur environnement. Ce livre s'inscrit dans le mouvement naturaliste de la littérature française, cherchant à représenter la société telle qu'elle est, sans fard ni embellissement. Jules Lermina, écrivain engagé et journaliste, était lui-même profondément intéressé par les conditions de vie des plus démunis. Son expérience en tant qu'observateur des injustices sociales l'a poussé à écrire La haute canaille pour donner une voix aux oubliés de la société. Je recommande vivement La haute canaille à quiconque s'intéresse à la littérature naturaliste, à l'histoire sociale ou à la représentation des classes populaires dans la littérature. Ce roman saisissant offre un aperçu poignant et authentique de la vie des laissés-pour-compte de la société du XIXe siècle.