Ce recueil d'une soixantaine de poèmes -d'amour- est un petit traité de la ringardise poétique. Des alexandrins (uniquement!), des rimes (presque toujours), de la musique (avant toute chose), des quatrains et des tercets (souvent agencés en sonnets).
L'auteur, endossant la politesse du costume, porte les masques de son visage dans les temps et les lieux qui lui sont chers. La mémoire et la chair, réunies en conclave, y écrivent les fragments de la loi de son être.