Monsieur Bréhat-Lenoir a été assassiné et une somme considérable lui a été dérobée. Son valet, Jean-Louis Guérin est accusé de l'avoir empoisonné à l'arsenic, poison qu'il a effectivement acheté peu avant le meurtre, évoquant la présence de rats envahissants. Le voisin du présumé coupable, Maximilien Heller, se retrouve mêlé à l'affaire, en qualité de témoin de la perquisition effectuée chez le prisonnier. Rapidement, il est clair pour cet homme doté d'une intelligence supérieure que le pauvre Guérin est innocent du crime dont on l'accuse... Comme Sherlock Holmes, Maximilien Heller repose ses investigations sur une logique implacable, possède un chat et abuse de l'opium. Comme lui, Heller a un confident médecin de son état, lequel se fait le rapporteur de l'enquête. Henry Cauvain ne serait donc qu'un vil plagiaire? La chronologie nous démontre le contraire: Maximilien Heller fut publié en 1871, la première aventure du personnage imaginé par Arthur Conan Doyle, Une étude en rouge, paraît quant à elle en 1887, soit seize ans plus tard...