"Les sociétés meurent par suicide et non par assassinat": une citation choc pour introduire une ouvrage qui révèle la marche -apparemment -inéluctable et fatale de l'humanité dans une économie du toujours plus. Alors même que la raréfaction des ressources et la dégradation des écosystèmes (climat, biodiversité, terres) nous mettent en risque, notre cerveau sait mais ne réagit guère. Nos sociétés modernes, composées d'une multitude de systèmes entrelacés (socio-techniques, économiques, politiques) semblent peu flexibles et aux antipodes d'un fonctionnement durable.
Notre coeur saura-t-il nous emmener vers de nouvelles formes d'organisations pour vivre nombreux et épanouis demain dans notre maison commune?