Le titre de ce recueil se veut ainsi d'exprimer le caractère particulier de son contenu : près de cent poèmes exclusivement écrits en alexandrins durant les huit derniers mois.
Ceci n'était pas à l'origine une contrainte voulue par l'auteure mais une construction qui s'est imposée à elle comme étant d'évidence, le temps d'une saison d'écriture.
Douze syllabes en cadence comme une sorte de grammaire intime qui structure l'émotion pour dire ou se dire, dans la fragilité de l'être face à son destin.