« Tu l’as dressée, elle est à toi. »
Je ne voulais pas qu’on me l’attribue. Cette jolie fleur délicate prononcera sans doute son mot de sécurité après un seul de mes coups de canne. C’est l’ancienne colocataire de la jeune épouse de mon frère de la bratva. Elle ne réussira pas à m’amadouer avec son envie de faire plaisir. Sa soumission totale. Mais quand elle encaisse tout ce que je lui inflige, je comprends vite une chose : elle m’appartient, désormais.