Ces pages sincères furent écrites au jour le jour, sous l’impression des heures écoulées, heures tragiques pour la plupart.
Je n’ai raconté que ce que j’ai vu. Je l’ai raconté tout simplement, avec mon angoisse, et avec mon cœur.
En pleine tourmente de la révolution bolchevik, avec quelques autres, nous avons fait ce que nous pouvions, ce que nous devions, pour notre cher pays.
Et je suis heureuse de pouvoir parler un peu de ces choses, que l’on n’a pas dites.