Remède pour la mort, comme le dit Gabriel DINU, un tel livre au titre relevant de l'Histoire, écrit en cours de route, à la hâte, à l'amour, à l'aveugle, devant la glace, constitue un témoignage digne de confiance, c'est-à-dire un livre dont les sources sont intimement liées à l'être des deux poètes. La source quotidienne est leur propre vie. Les trois poèmes en ouverture de la partie de Marius CONU, intitulée Ukraïna mir, sont un préambule à ce qui suivra après ce début du XXI siècle antichrétien, global et dépourvu d'identité.
Clelia IFRIM
Complexe et turbulent, généreux et provocateur, avec des éclats métaphoriques d'impertinence et transparence, le présent recueil met en avant la vitalité de la méditation intellectuelle et constitue un acte/fait artistique dont la Poésie gagne en tant que forme de résistance : la poésie comme arme et fleur, la poésie comme parfum et/ou bouclier !
Je félicite l'éditeur qui a eu la généreuse idée de ce duel poétique mais aussi les lecteurs qui se laisseront prendre au jeu des assauts et des parades métaphoriques du recueil Le IV-e REICH.
Ion Gabriel PUSCA-LUPISOR