Cet ouvrage est le produit d'une rencontre entre ces deux hommes fondée sur la reconnaissance du grand talent du peintre.
François Rieux a donné la parole à ses pinceaux.
Jean-Claude Millet est venu ajouter le verbe à l'image dans une démarche de médiation entre le peintre et sa peinture, entre la peinture et le public et entre la peinture et l'histoire.
Dans ce livre, le sort de Marie Durand et les représentations faites par François Rieux sont abordées sous l'angle symbolique, de manière à accéder à la dimension universelle de sa résistance. Celle-ci appelle à s'opposer à tous les enfermement dans des murs réels ou virtuels mettant en cause la liberté de conscience.