Les sept déesses Hathors ont prédit une vie courte au nouveau-né de Pharaon. Une bête, serpent, crocodile ou chien, causera sa mort prématurément. Comment l'héritier d'Egypte échapperait-il à ces dangers? Impossible, si une princesse syrienne, très belle et surtout très avisée, ne venait à son secours.
Cette version contemporaine est inspirée et détournée de la version antique du conte dont l'égyptologue Gaston Maspéro (1846-1916) a donné la première traduction en français sous le titre "Le Prince prédestiné" en 1877.