Christian Grammatico
L'idylle en Dylanie
Elle n'appartient qu'à elle, mais je lui ai dit : « je te veux ». Ce matin comme tous les matins, je suis ton amour, tu es comme une pierre plantée. Ton habit déteint sur moi en habit de lumière. Restez Lady, restez éternellement avec moi. Aujourd'hui, je suis seul avec toi, la seule que j'aime, et je serai libre, avec dame nature, avec ma madone, ma Sara. Oh Sara, laisse-moi ton amour. Jamais je ne partirai et si tu dois partir, laisse-moi encore une nuit pour te convaincre...
C'est une histoire d'amour éternelle, banale, impossible, belle et cruelle. Une femme est dans chacun de ces poèmes Dylaniens.