A la Une... à la deux... pourrait être aussi l'amorce d'une comptine signée Alphonse Allais racontant à Paulette, sa Petite fille, ses soucis d'écrivain enchaîné.
En fait, il s'agit de la UNE des journaux de la belle époque où son papa, durant vingt-cinq ans, occupa ce point de vue recherché. De là, à profusion, il distribua sourires, clins d'oeil, mots ? bons et mauvais ? boutades, calembours (le compteur à gags est ouvert ... ) loufoqueries en tout genre à ses contemporains avides de rire.