Tout va merveilleusement bien pour eux jusqu'à ce jour maudit du 16 octobre lorsqu'une voiture chargée d'explosifs vient se fracasser, en faisant 21 morts, sur la façade de la galerie d'art bavaroise où ils se trouvent.
Lui, Simon, peintre, y présente des oeuvres dénonçant les atrocités djihadistes.
Elle, Aïcha, très jeune berbère d'une beauté rare et singulière, à la chevelure flamboyante bleu-nuit et aux grands yeux sombres comme des lacs profonds de montagne, devenue l'égérie d'un célèbre couturier parisien, est à ses côtés.
Les loups du Sahel est né d'une folle idée qui va alimenter les journaux et les télévisions, faire courir les photographes et les policiers, faire naître des passions inavouables et des haines raciales dévastatrices.